« Soyons très clairs: les chauffeurs d’autobus du RTC veulent continuer de travailler et d’assurer le service du transport en commun, mais ils et elles veulent le faire de manière sécuritaire », a déclaré Hélène Fortin, présidente du syndicat des chauffeurs.
En ce 18 mars 2020, on peut constater que la demande du syndicat est finalement respecté par le RTC et la Ville de Québec.
Le mot d’ordre est le même partout au Québec. La plupart des sociétés de transport urbain du Québec ont, en effet, décidé d’appliquer la mesure de protection simple imaginée par les chauffeurs d’autobus eux-mêmes, à savoir condamner la porte avant des autobus et permettre l’entrée par la porte arrière.
(N.C)